Alors que JOEL BEDOUET prétend associer la population et les contribuables évronnais sur l'avenir du domaine des SOEURS DE LA CHARITE d'EVRON -dont les contribuables évronnais, mayennais et l'ETAT ont déjà payé 1 200 000 € à leur filiale sans aucune contrepartie immobilière car ANDRE ROCTON a menti lors de l'accord sur la convention JAMAIS LA RESIDENCE PERRINE THULARD ne reviendra dans le giron de la VILLE d'EVRON - c'est écrit noir sur blanc : elle revient à la CONGREGATION DES SOEURS DE LA CHARITE d'EVRON dont GEORGES GAROT est le gestionnaire immobilier et financier-, on voit une manipulation médiatique se mettre en place, orchestrée par l'entourage et la clique de GUILLAUME GAROT, GEORGES GAROT, ANDRE DUVAL, les représentants du parti socialiste local (très impliquée dans le financement de la CONGREGATION des SOEURS DE LA CHARITE d'EVRON : Cherchez le loup GEORGES...et un silence assourdissant de JEAN ARTHUIS (pourtant tout feu tout flamme à Paris dès qu'il s'agit des dépenses de l'argent public, mais GRAND GASPILLEUR devant l'éternel en Mayenne )!
La question fondamentale doit être :
- CETTE PROPRIETE EXCEPTIONNELLE, en plein centre de la ville, doit-elle constituter la "locomotive" pour relancer le dynanisme du centre ville - qui se meurt chaque jour un peu plus - ou la ville d'Evron doit-elle s'endetter encore plus pour quelques projets totalement DEMAGOGIQUES pour faire plaisir à quelques cultureux qui ont déjà massivement gaspillé l'argent public pour plusieurs dizaines d'années en ayant investi les millions d'euros sur le "fumeux" projet POLE CULTUREL DES COEVRONS à la périphérie d'Evron !
NOUS, depuis le départ, c'est à dire depuis 2004 on est très clair et nos idées sont simples comme "un mayennais radins-paysans" avec son argent personnel...
LE DOMAINE DES SOEURS DE LA CHARITE D'EVRON doit REVENIR DANS LE DOMAINE PUBLIC, et pour celà il n'y a pas une multitude de moyens : il faut trouver de l'argent pour financer ce bien, et surtout il faut que son occupation attire de nouveau en centre ville les habitants des Coëvrons, et secondairement les personnes de l'extérieur.
IL FAUT DONC RETROUVER LA DYNAMIQUE que menaient RAOUL VADEPIED, MICHEL NICOLAS et... ERIC TOUATI -lors de la mise en forme de son projet EVRON A 10 ANS - du 07 septembre 2002 !
LE CIRQUE QUE FONT LES CULTUREUX - qui ne paient rien et qui n'ont aucune idée sur le financement, car projeté de l'hôtellerie, alors qu'à moins de 100 m LE PILORI -liquider judiciairement il y a un peu plus d'un an, et TOUT NEUF grâce à l'argent public - ne trouve aucun repreneur, et d'ailleurs il n'y a plus de potentiel commercial pour un complexe hôtelier sur EVRON !, n'est pas crédible !
LA MAIRIE d'EVRON doit d'abord de toute urgence lancer une modification du Plan Local d'Urbanisme sur tout le périmétre propriété de la CONGREGATION DES SOEURS DE LA CHARITE, en le classant en emplacement réservé à des fins publics et particulièrement créé le pôle administratif des COEVRONS regroupant les sièges suivant :
- l'HOTEL DE VILLE d'EVRON
- les bureaux de la Communauté de Communes du Pays d'Evron
- les bureaux du S.V.E.T. des COEVRONS en attendant que les élus arrêtent leur "bordelique gestion" pour sauver leurs indemnités plutôt que de VOIR A 20 ANS !
- les bureaux du S.I.A.E.P. du Pays d'Evron
- l'antenne du Conseil Général actuellement boulevard Bel
- la Trésorerie Public
- la future maison médicale
- et y adjoindre une antenne décentralisée de la Chambre de Commerce et d'Industrie ainsi que de la Chambre des Métiers, sans compter y installer toutes les permanences des différents services publics qui se tiennent soient à la Mairie soit route de Laval (comme le Pôle Emploi par exemple).
La conséquence financière serait d'un tout autre intérêt pour les finances publiques locales :
- 1] La ville d'Evron, le Conseil Général de la Mayenne et l'ETAT ont déjà versé 1 200 000 € à la CONGREGATION DES SOEURS DE LA CHARITE d'EVRON soit au moins 60 à 70 % de la valeur patrimoniale de ce domaine (car il ne vaut pas plus de 2 à 2 500 000 € aux vues des contraintes architecturales, de son emplacement et surtout des travaux à réaliser)
- 2] Les locaux siègent du SVET, de la CCPE sont immédiatement mis en vente, ou à la location pour des entreprises (ce qui est d'ailleurs son utilisation légale originelle)
- 3] Les locaux où siègent le SIAEP en face de l'entrée de la RESIDENCE PERRINE THULARD sont mis en vente au profit d'une société privée !
- 4] Les locaux où le Conseil Général a installé de manière luxueuse les services dits sociaux, en face de Bel, à la place de l'ex-DDE sont également vendus à des fins économiques
- 5] L'immeuble de l'Hôtel de Ville actuel est soit vendu à un promoteur pour y faire OBLIGATOIREMENT une Résidence pour Personnes Agées de 15 à 20 appartements, soit directement confié à un Office H.L.M. pour en faire une résidence service pour personnes âgées...
- 6] La propriété où se trouve le Trésor Public, est mis en vente aux enchères publiques, avec une seule obligation : pas de construction supplémentaire, et une ouverture au public d'un passage entre le Jardin du Boulay et la rue de Sainte Gemmes !
VOILA COMMENT ON A UN PROJET SERIEUX POUR UNE VILLE COMME EVRON !
VOILA, Monsieur JOEL BEDOUET, Messieurs les "gérants" des affaires immobilières et financières de la CONGREGATION DES SOEURS DE LA CHARITE d'EVRON : la "dynastie" GEORGES et indirectement GUILLAUME GAROT, Monsieur le stalinien JEAN PIERRE BOURDIN - qui aurait pu croire de son vivant voir le "bouffeur rouge de curés" JEAN PIERRE BOURDIN subventionné les "BONNES SOEURS" d'EVRON...il y a plus d'un socialiste ou d'un communiste de la dernière "corée de la Mayenne" - VOUTRE, qui doit bouffer son "internationnale- tous les jours...
L' abbaye sera peut-être un conservatoire des saveurs - Évron
mercredi 08 décembre 2010
Lundi, en compagnie du maire, Joël Bedouet, de nombreux élus des collectivités locales étaient conviés à découvrir l'abbaye. La visite était commentée par Emmanuel D'Erceville et Alain Poisson. Ensuite dans une salle du lycée privé d'Orion Stéphane Millet qui anime le cabinet Clé Millet en charge de l'étude a présenté les premières réflexions : s'appuyant sur l'historique du site et de son environnement (le Pays d'art et d'histoire) ainsi que sur les caractéristiques rurales et agricoles de la Mayenne il a proposé l'idée d'un conservatoire des saveurs.
Positionnement du concept
Il veut s'inscrire dans la tradition de l'abbaye comme pôle de recherche, de production et de diffusion sous toutes les formes de culture. Ce concept s'appuie sur des tendances fortes de la société française : conservation patrimoniale, intérêt pour les foires aux plantes, semences, légumes, resserrement des liens entre haute gastronomie et produits de terroir, développement d'industries secondaires liées aux plantes en diététique, phytothérapie, cosmétique, engouement pour les écoles et formations liées à la gastronomie. Il n'existe pas de pôle référent bénéficiant d'une reconnaissance nationale dans ce secteur.
Cohérence avec le site
Ce programme correspond aux ressources offertes par le site : ressources physiques avec l'existence d'un espace cultivable adapté ainsi que des bâtiments capables d'accueillir les fonctions d'accueil, d'hébergement et de fabrication ; ressources humaines avec la proximité d'acteurs de premier plan dans les secteurs de l'élevage et des cultures fruitières et maraîchères d'une part et d'autre part avec la présence du lycée de formation spécialisé dans ce secteur et doté de laboratoires. L'autoroute le TGV placent le site à deux heures de Paris.
Des appuis seraient nécessaires pour accompagner le projet. La réflexion est à son début. Les boîtes à idées sont toujours disponibles. Les Évronnais peuvent toujours proposer, et après cette première piste, réagir.
Les fonctions du futur conservatoire des saveurs - Évron
mercredi 08 décembre 2010
Élevage et conservation de fruits et légumes, espèces animales traditionnelles et rares ; représentation du savoir local et régional au travers de foires saisonnières exposant toutes les formes de production touchant au goût ; recherche agronomique pour leur reproduction, leur développement, leur diversification ; collaboration avec les acteurs complémentaires des filières de la phytothérapie ou de la cosmétique ; école de cuisine pour la promotion de ces produits ; centre de rencontre et de séminaires spécialisé dans l'agroalimentaire les métiers de bouche et la gastronomie ; formations liées aux activités proposées sur le site ; hôtellerie pour accompagner les fonctions de séminaire, d'enseignement, de formation de tourisme.